Patrimoine industriel
Ancienne brasserie de Couthuin
Cet imposant bâtiment du quartier de Sur-les-Trixhes date du 2e tiers du19e siècle. On peut toujours voir le millésime 1842, associé aux lettres E.F. du nom du propriétaire E. Fastré, apposé sur le fronton d’une des annexes.
Le bâtiment abritait à l’époque une brasserie, un magasin et un café.
Julien Degbomont, son épouse et leurs quatre enfants s’installèrent à la brasserie
Fastré vers 1905. On y fabriquait bière, limonade, genièvre et liqueur. A la mort de Julien, deux de ses enfants lui succédèrent et développèrent l’entreprise qui employait plusieurs Couthinois : ouvriers, employés et voituriers.
De 1972 à 2005, le bâtiment fut occupé par le docteur Patrick Van Reeth qui restaura l’ensemble et y installa son cabinet médical.
En 2005, la propriété est acquise par l’imprimeur Didier Mols et son épouse qui poursuivent sa restauration et la transforme en maison d'hôtes.
Ce bâtiment illustre l’architecture hesbignonne caractéristique : imposants volumes, briques rouges pour le parement et moellons de calcaire pour le soubassement et les bandeaux décoratifs.
Le bâtiment abritait à l’époque une brasserie, un magasin et un café.
Julien Degbomont, son épouse et leurs quatre enfants s’installèrent à la brasserie
Fastré vers 1905. On y fabriquait bière, limonade, genièvre et liqueur. A la mort de Julien, deux de ses enfants lui succédèrent et développèrent l’entreprise qui employait plusieurs Couthinois : ouvriers, employés et voituriers.
De 1972 à 2005, le bâtiment fut occupé par le docteur Patrick Van Reeth qui restaura l’ensemble et y installa son cabinet médical.
En 2005, la propriété est acquise par l’imprimeur Didier Mols et son épouse qui poursuivent sa restauration et la transforme en maison d'hôtes.
Ce bâtiment illustre l’architecture hesbignonne caractéristique : imposants volumes, briques rouges pour le parement et moellons de calcaire pour le soubassement et les bandeaux décoratifs.
Moulin de Ferrières à Lavoir
En bordure du bief, le Moulin de Ferrières du nom d’un ancien hameau, est un des derniers moulins artisanaux encore en activité en province de Liège. On y moud des farines avec le germe selon des procédés traditionnels sur meules de pierre.
L’existence du moulin date du Moyen Age. Largement restaurée, la meunerie date de 1745.
Construite en moellons de calcaire, elle montre des traces d’agrandissement au pignon gauche contre lequel s’appuie la roue métallique du moulin de Gelbressée. Elle a remplacé en 1982, la roue à aubes originale détruite par l’inondation de mai 1947.
Elle était, à l’origine, alimentée par l’eau, acheminée par le bief et recueillie dans un réservoir de retenue régularisé par une vanne. L’eau se déversait au sommet de la roue, via un chenal d’amenée suspendu, prolongé par une buse métallique.
La force motrice est fournie aujourd’hui par un moteur électrique.
En 2015, la Commune de Héron a fait l'acquisition du site en se donnant pour objectif de préserver ce patrimoine remarquable, d'en perpétuer la vocation tout en l'intégrant dans un projet de développement économique et touristique durable. Plus d'infos...
L’existence du moulin date du Moyen Age. Largement restaurée, la meunerie date de 1745.
Construite en moellons de calcaire, elle montre des traces d’agrandissement au pignon gauche contre lequel s’appuie la roue métallique du moulin de Gelbressée. Elle a remplacé en 1982, la roue à aubes originale détruite par l’inondation de mai 1947.
Elle était, à l’origine, alimentée par l’eau, acheminée par le bief et recueillie dans un réservoir de retenue régularisé par une vanne. L’eau se déversait au sommet de la roue, via un chenal d’amenée suspendu, prolongé par une buse métallique.
La force motrice est fournie aujourd’hui par un moteur électrique.
En 2015, la Commune de Héron a fait l'acquisition du site en se donnant pour objectif de préserver ce patrimoine remarquable, d'en perpétuer la vocation tout en l'intégrant dans un projet de développement économique et touristique durable. Plus d'infos...
Ancien dépôt et gare du chemin de fer vicinal d’Envoz
Témoin de l’époque industrielle, cet ancien dépôt se présente sous la forme d’un ensemble de trois bâtiments en brique et calcaire sous couvertures de tuiles mécaniques. Parallèlement, la gare comprenant deux volumes en alignement. En retrait, dépôt de voitures, composé de deux hangars jumelés sous bâtière. Lampisterie avec château d’eau en forme de tour carrée.
Exploitation du fer : bornes de concessions